Les premieres chroniques sur de rock et de sorts

5 semaines après sa sortie, où en est De rock et de sorts ? A-t-il fait plaisir à ses premiers lecteurs et lectrices ?

Il semblerait que oui !

Voici par exemple ce qu’en dit Sylvie Gagnère, fine connaisseuse de l’imaginaire francophone, sur le site internet de la Grande Parade :

“Le rythme est impeccable, ne laisse pas de temps mort et balaie les (petites) interrogations qui surgissent parfois. La montée en tension est bien maîtrisée, le lecteur veut savoir comment les héro·ïnes vont s’en sortir. L’écriture est très travaillée, les personnages soignés – même les protagonistes secondaires.”

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Voici ce que Bertrand Campéis (fin connaisseur lui aussi, et membre du jury du prix ActuSF de l’uchronie) a retenu de mon livre :

…”Et quel roman ! de l’aventure, une belle histoire d’amour entre deux femmes, de la magie, du Viet Vo Dao, et du Rock ! Rythmant le roman, le transcendant, l’accompagnant tout du long ! Vous avez envie de vous éclater autant que lors d’un concert ? De découvrir des héroïnes et tout un tas de personnages bien fichus ? De ressentir chacune des émotions des personnages, de les accompagner jusqu’au bout de leur quête, de leur combat ? Alors plongez tête baissée dans De Rock et de Sort, et à la question “Croyez-vous en la magie du Rock ?” vous pourrez répondre “Oui ! Grâce à Dominique Lémuri !”

Et un retour réjouissant d’une lectrice, sur Babélio :

Bref, les critiques sont bonnes, ce qui est une grande joie pour une autrice, a fortiori en édition indépendante pour la première fois. Ouf ! Franchement, je n’en menais pas large quand je me suis lancée, soyons honnête !

Reste à aider ce roman à trouver son public, à faire “monter la mayonnaise”. C’est le plus difficile, je crois : communiquer, se faire entendre et voir, avoir l’impression de rabâcher qu’on a sorti un livre (et même qu’on en a d’autres déjà sortis ou en préparation) et ne pas oublier de parler de soi, parce qu’aujourd’hui un lecteur ne va pas forcément acheter un livre à cause de l’histoire qui l’intéresse. Il peut le faire parce que son auteur l’intéresse, qu’il lui est sympathique.

Aujourd’hui, écrire dans l’ombre et ne jamais se montrer est une stratégie perdante, biberonnés que nous sommes à l’image via les réseaux sociaux. J’avoue ne pas échapper à ce travers, hésitante en librairie au milieu des tonnes de livres qui se proposent, parés de leurs plus beaux jaspages et dorures… Alors, je mise sur les valeurs sûres, les auteurs et autrices que je suis depuis des années, et ceux qui sont mes ami.e.s et dont je connais l’acharnement au travail de leurs textes. Je suis les conseils de ces mêmes amis, et mon instinct aussi. Ma pile à lire déborde de partout, la vôtre aussi, sûrement. Nous, lecteurs et lectrices, faisons ce que nous pouvons pour soutenir les auteurs que nous apprécions, mais on ne peut pas tout lire, tout acheter. J’essaie aussi de privilégier les auteurices francophones qui ont bien besoin de nous pour résister au rouleau-compresseur des sorties anglo-saxonnes.

Mais quel plaisir quand la rencontre littéraire se fait ! De rock et de sorts n’a pour le moment récolté que des critiques élogieuses. Je croise les doigts pour que cette belle dynamique se poursuivre et dans un prochain billet, je parlerai un peu de mes autres activités, fort nombreuses, du moment.

Bonne lecture, quel que soit votre compagnon littéraire !

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