Vous avez peut-être vu passer l’information sur Facebook : j’ai supprimé mon compte à l’oiseau bleu tout récemment. Ce n’est pas un coup de tête mais à l’instar d’autres internautes, j’ai constaté le degré de pollution de mon espace mental induit par ce réseau. J’avais déjà lu il y a quelque temps que TwT, c’était se mettre à hurler du haut d’une falaise (cela donne une bonne idée de l’audience et de l’intérêt pour faire passer de l’actu). Je m’étais inscrite « pour voir », encouragée par quelques autrices plus expérimentées et « installées » dans le métier que moi qui avaient l’air de bien s’en trouver.
Le format, trop court pour développer une pensée, à moins d’employer plusieurs posts numérotés à la suite, et la façon dont les repartages amplifient parfois une seule partie du discours d’une personne, m’ont fait fuir cet espace qui me parait plus toxique qu’autre chose. Il suffit de voir les campagnes de haine qui l’enflamment, en oubliant que derrière un compte virtuel, il y a une personne. On parle beaucoup de lutter contre le harcèlement scolaire, mais quel exemple donnent les adultes aux enfants ?
Donc mon compte est supprimé, et je suis bien débarrassée.
J’ai failli faire de même avec FB et j’ai dû renoncer car j’ai besoin de relayer les publications des Aventuriales ainsi que les articles que je publierai ici. Au moins, j’ai fait le ménage dans ma liste de contacts pour ne garder que les personnes que je connais vraiment.
Me recentrer sur mon site et mon blog me permet de reprendre la main sur ma communication, et surtout d’arrêter de perdre mon temps à traîner sur des réseaux. Leur finalité n’est plus de rapprocher les gens mais de générer des ventes pour ceux qui achètent des espaces publicitaires et de produire des « likes, grr, etc » quand les internautes se volent dans les plumes parfois pour un mot de travers, choses qu’ils ne feraient certainement pas s’ils se trouvaient face à face.
Et l’efficacité de FB et TwT pour toucher de nouvelles personnes potentiellement intéressées par mon travail ou les Aventuriales me parait plus que théorique. (sauf à payer, bien entendu). Bref, mon temps et mon énergie sont plus précieux que ça.
En résumé, j’ai toujours un compte Facebook, où je relaierai mes articles de blog. Si vous voulez éviter FB, vous pouvez aussi vous abonner à mon blog sur la page d’accueil ou au flux RSS si vous préférez. Je ne publierai qu’une à deux fois par mois, sauf actu brûlante, par exemple une sortie de roman. Enfin, pas de quoi vous noyer sous les infos. Je n’ai pas encore passé le cap de la newsletter. J’y réfléchis, je l’avoue, sans grande conviction pour le moment.
Je suis toujours sur Instagram. J’aime bien le format qui permet de s’exprimer et l’ambiance me semble plus agréable. Je me suis abonnée à tout un tas de pages de danse pleines de photos et vidéos inspirantes dans le cadre de mon futur projet de roman.
Je vais vous proposer prochainement une nouvelle rubrique de mon blog, restez à l’écoute. J’espère que vous la trouverez intéressante.
Et merci pour votre présence ici.
Sereinement,
Dominique

Comme je comprends ta décision, Dominique. Sans avoir désactivé mon compte Twitter, j’ai décidé le week-end dernier de ne plus y mettre un orteil. Si j’avais la possibilité de faire connaître mon site autrement, je ferais de même avec Facebook et Instagram, je t’avoue. Je te souhaite de récupérer toute ton énergie mentale et de la consacrer à tes beaux projets !
Aemarielle
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C’est compliqué de connaître la meilleure configuration pour soi et son activité. Il faut aussi, je pense, retenir et s’accrocher aux RS que l’on pense le mieux maîtriser et qui correspondent au public que l’on espère intéresser. Je vais bien voir comment les choses évoluent pour moi. En tout cas, j’ai vu que ton projet 4 saisons démarre bien et le résultat promet d’être superbe !
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